Plus d’espace, plus de temps, plus de connexions
Atalak 2.0 propose également quelques nouvelles fonctionnalités pour la période 2019-2020. D’une part, il offre aux membres la possibilité d’intégrer les laboratoires des chorégraphes participants à travers différents programmes ou actions en relation avec leurs spectateurs. En retour, le projet propose deux semaines de laboratoire de création, offrant le temps nécessaire à l’approfondissement de la recherche chorégraphique tant pour le créateur que pour les danseurs. Cette proposition cherche à se concentrer sur les créateurs qui commencent à faire leurs premiers pas dans le monde de la chorégraphie, en leur offrant un format de laboratoire où la création de groupe est essentielle. Atalak 2.0 propose également un « regard extérieur » pour accompagner les processus de laboratoire. Ce sont des experts dans le domaine de la chorégraphie et de la dramaturgie.
Après le succès de l’année dernière, « Atalak. Kafe bat ? », introduira des rencontres entre professionnels du secteur.
Laboratoires 2019
Led Silhouette
LABORATOIRE D’EXPÉRIMENTATION Décembre 2019PART 3 – La troisième partie est le projet avec lequel nous étudions et développons différents outils, qualités de mouvement, en voyageant à travers différents niveaux et en établissant des termes divers avec lesquels nous voulons générer une atmosphère transformatrice. Exposer la forme de différentes manières, devenir un polyèdre aux multiples facettes qui utilise le mouvement et l’image comme arme principale et de ruse.
Sans la prétention de créer une pièce fermée, nous voulons explorer le vocabulaire que nous avons particulièrement travaillé avec notre équipe jusqu’à présent et voir comment transmettre ces idées et concepts à différents esprits et corps. La PART 3 est un début par la fin, un laboratoire spatial où l’on peut faire des essais et des erreurs avant de réaliser la pièce finie, en mettant en pratique les expériences acquises dans ces processus de recherche.
Société créée et dirigée par le navarrais Martxel Rodriguez et le madrilène Jon López. Parallèlement à leur activité d’interprètes dans des compagnies telles que « La Veronal » ou « Kukai Dantza », ils commencent en 2016 leur stage de créateurs en co-dirigeant le collectif de jeunes artistes formés dans différentes disciplines de la danse et influencés par l’art contemporain. Ils explorent de nouvelles formes de mouvement et différents concepts dans le but d’offrir leur propre vision de la danse contemporaine, en construisant une plateforme où ils peuvent travailler et faire leur Led Silhouette.
Depuis la création en 2016 de leur première pièce « Moira », coproduite et créée au « Festival 10 Sentidos » à Valence, ils ont réalisé des résidences telles que « Sortutakoak » au Pays Basque, « Residentes 2019 » au Centro de Danza Canal à Madrid ou au siège de la « Compañía Nacional de Danza ». Résidences où ils développent des œuvres qui ont été présentées dans des lieux tels que la « Cuarta Pared » de Madrid, le « Festival Quincena de Danza Almada » au Portugal, le « Festival Internazional Nuova Danza » en Sardaigne ou le musée « Centre del Carmen de Valencia ».
Projet Larrua
LABORATOIRE D’EXPÉRIMENTATION Juin 2019ARTALDE – Nous utilisons une tribu ou un groupe de personnes qui ont généré un mode de communication différent de ce que nous connaissons comme « normal », comme excuse pour enquêter sur la nature des êtres humains. Dans ce laboratoire, nous souhaitons nous concentrer sur la manière dont la communication est produite par le langage corporel à partir de la théâtralité du geste et du contact physique direct comme moyen de communication. Inspirés par le Poor Théâtre de Grotowski et l’Empty Space de Peter Brook, nous cherchons à explorer l’idée d’habiter et de transformer l’espace à travers nos corps de différentes manières, comme par exemple transformer les corps en mobilier de scène.
Projet Larrua est un projet de danse dirigé par Jordi Vilaseca et Aritz López qui possède son propre langage, qui unit les styles, la physicalité et les disciplines (BreakDance et danse contemporaine). PROYECTO LARRUA est né avec l’intention d’activer la danse à Vitoria-Gasteiz et dans ses environs et de lancer ainsi ce premier projet qui veut ouvrir de futures collaborations avec des artistes locaux et nationaux, différentes institutions, des résidences artistiques… Travaillant ainsi comme un collectif artistique.
Myriam Perez Cazabon
LABORATOIRE D’EXPÉRIMENTATION Avril 2019FUNERAL WALTZ – Lors de ce premier laboratoire expérimental ATALAK, qui a duré trois semaines, Myriam Perez s’est intéressée à l’approfondissement et à l’intégration de son aspect d’interprète du mouvement dans la danse. Par conséquent, mon intérêt est d’étudier ce qui arrive au danseur quand il n’a pas à danser, ce qui et qui se cache derrière la chorégraphie, en s’occupant des scènes de plus de calme et de silence. « Valse d’un enterrement est une proposition créative inspirée de la pièce Mutu, créée par la compagnie de Myriam Perez Cazabón le 6 mai 2018. Au cours du laboratoire, nous travaillerons sur trois épisodes ou espaces de communication, où le silence remplace tout le sens du mot et où la compréhension entre les personnes prend corps à travers les plus petits gestes et surtout, à travers le regard. Le chorégraphe d’Iparralde, Mizel Théret, a suivi le processus en tant qu’œil extérieur.
Elle commence ses études de danse entre Saint-Sébastien et Irun. Elle a étudié la danse contemporaine à Codarts (Rotterdam). Elle collabore en tant qu’interprète et chorégraphe à différents projets liés à la création et à la performance dans différentes disciplines artistiques, en les combinant avec la pédagogie depuis 2004. En 2016, elle commence sa carrière personnelle en tant que compagnie et crée les pièces Vacío (2017), Extraña en mi piel (Dantzan Bilaka 2017. Pièce recommandée par le réseau de théâtre basque SAREA) et « Mutu » (Gazteszena 2018). Il travaille actuellement sur sa nouvelle production « Iceberg », qui sera présentée en première le 10 mai 2019.